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Slavery didn’t start in 1492 when Columbus came to the New World. And it didn’t start in 1619 when the first slaves landed in Jamestown. It’s not a white phenomenon. The real story of slavery is long and complex. Candace Owens explains.
C'est un récit choquant, controversé, et inédit.
Depuis maintenant plus de 200 ans, l'Occident emploie des méthodes absolument inimaginables pour dérober le peuple haïtien de sa souveraineté.
Mais pourquoi?
Dans ce documentaire spécial, Benjamin Tremblay et l'équipe de 7 jours sur Terre explorent en profondeur l'une des relations les plus scandaleuses de l'histoire récente afin de mieux en exposer les tabous et les enjeux.
Black and German: news anchor Jana Pareigis has spent her entire life being asked about her skin color and afro hair. What is it like to be Black in Germany? What needs to change?
In our documentary "Afro Germany", Pareigis travels through Germany to speak with other black Germans, including rap and hip hop artists and pro footballers, , and find out what their experiences of racism in Germany have been. "Where are you from?" Afro-German journalist Jana Pareigis has heard that question since her early childhood. And she’s not alone. Black people have been living in Germany for around 400 years, and today there are an estimated one million Germans with dark skin. But they still get asked the often latently racist question, "Where are you from?" Jana Pareigis is familiar with the undercurrents of racism in the western world. When she was a child, the Afro-German TV presenter also thought her skin color was a disadvantage. "When I was young, I wanted to be white," she says. Pareigis takes us on a trip through Germany from its colonial past up to the present day, visiting other Black Germans to talk about their experiences. They include German rapper and hip hop artist Samy Deluxe, pro footballer Gerald Asamoah and Theodor Michael, who lived as a Black man in the Third Reich. They talk about what it’s like to be Black in Germany.
Sermon du culte du samedi 15 août 2020, dans la région parisienne. La place de l'homme noir dans le récit biblique.
Le mouvement mondial « Black Lives Matter » ravivé suite à la mort de Georges Floyd en mai dernier à Minneapolis a trouvé un écho très important en Suisse. Être Noir.e dans notre pays, c’est vivre une trajectoire qui n’est sensiblement pas la même que pour une personne blanche. Un constat qui dérange… car il bouscule la croyance que notre société donne les mêmes chances à toutes et tous. La discrimination raciale avec son lot de clichés, de préjugés et de violence ordinaire se glisse dans toutes les sphères de la société. Pour décortiquer le racisme anti-Noir, l’émission mêlent récits, éclairages d’experts ainsi que des expériences.
Dans la tête de part à la rencontre de plusieurs personnes suisses ou naturalisées suisses, noires ou métis qui évoquent un vécu personnel parfois douloureux marqué par la violence de mots entendus au coin de la rue, d’attitudes condescendantes, de discrimination au travail ou d’actes racistes.
Parmi les témoignages figurent celui de Smult Kouamé, un jeune trentenaire qui a vécu, alors qu’il était étudiant à la Haute Ecole de Gestion à Genève, une arrestation musclée, non justifiée, à la douane de Bardonnex (GE). Si cet événement a été particulièrement traumatisant pour lui, il racontera combien il est courant quand on est noir.e de subir un racisme institutionnel de la part des autorités et des institutions helvétiques. « J’ai beau être suisse, j’ai beau avoir la carte d’identité suisse, il a beau être mentionné sur ma carte d’identité origine Lancy… pour ces douaniers, policiers-là, je reste Noir ! »
Plus loin, cette émission a reproduit une expérience réalisée initialement en 1947 aux USA pendant la ségrégation. Cette expérience dite « des poupées » démontre que les stéréotypes négatifs liés à la peau noire sont intégrés très rapidement par les enfants et que même en 2020, dans un contexte suisse, la couleur noire reste dévalorisée aux yeux des enfants noirs avec pour conséquence possible, une mauvaise estime de soi.
Les stéréotypes raciaux, les parents sont de plus en nombreux à les combattre. C’est le cas de l’artiste genevoise Licia Chery : que ce soit au travers de ses chansons ou de son livre « Tichéri a les cheveux crépus », cette jeune maman s’engage pour donner un avenir diversifié à son enfant. Mais elle souligne : « Le plus important c’est de lui apprendre à s’aimer car moi je ne peux pas lui promettre un monde où sa couleur de peau ne sera pas un problème, je ne peux pas lui promettre un monde où il sera traité de manière juste… »
Journaliste : Joëlle Rebetez
Réalisateur : Christian Fargues
Présentation : Luigi Marra
This is my open letter to you. Be proud of yourself. We are amazing and powerful.
Our lives matter. You matter.
Never forget that.
Vidéo à partir de 15 ′01": Jacques Attali «les Africains ont inventé l’ordinateur numérique bien avant qu’on le découvre »
Aux États-Unis, et notamment à Atlanta, la ville de Martin Luther King Jr., le mouvement "Buy Black" (Acheter Noir) est en plein essor. Inspiré du mouvement des droits civiques, il encourage les Afro-Américains à boycotter l’économie "blanche" et à consommer au sein de leur communauté. L’initiative est née en réaction aux violences policières à répétition contre des membres de la communauté afro-américaine. Reportage à Atlanta de notre envoyé spécial.
Emission proposée par Patrick Lovett et Aline Schmidt.
Michelle Alexander, highly acclaimed civil rights lawyer, advocate, Associate Professor of Law at Ohio State University, and author of The New Jim Crow: Mass Incarceration in the Age of Colorblindness, delivers the 30th Annual George E. Kent Lecture, in honor of the late George E. Kent, who was one of the earliest tenured African American professors at the University of Chicago.
The Annual George E. Kent Lecture is organized and sponsored by the Organization of Black Students, the Black Student Law Association, and the Students for a Free Society.
Pie Tshibanda raconte, avec humour et sensibilité, L'histoire de son exil, du Congo vers la Belgique.
Être noir.e en Suisse - Dans la tête d'un noir
Le mouvement mondial « Black Lives Matter » ravivé suite à la mort de Georges Floyd en mai dernier à Minneapolis a trouvé un écho très important en Suisse. Être Noir.e dans notre pays, c’est vivre une trajectoire qui n’est sensiblement pas la même que pour une personne blanche. Un constat qui dérange… car il bouscule la croyance que notre société donne les mêmes chances à toutes et tous. La discrimination raciale avec son lot de clichés, de préjugés et de violence ordinaire se glisse dans toutes les sphères de la société. Pour décortiquer le racisme anti-Noir, l’émission mêlent récits, éclairages d’experts ainsi que des expériences.
Dans la tête de part à la rencontre de plusieurs personnes suisses ou naturalisées suisses, noires ou métis qui évoquent un vécu personnel parfois douloureux marqué par la violence de mots entendus au coin de la rue, d’attitudes condescendantes, de discrimination au travail ou d’actes racistes.
Parmi les témoignages figurent celui de Smult Kouamé, un jeune trentenaire qui a vécu, alors qu’il était étudiant à la Haute Ecole de Gestion à Genève, une arrestation musclée, non justifiée, à la douane de Bardonnex (GE). Si cet événement a été particulièrement traumatisant pour lui, il racontera combien il est courant quand on est noir.e de subir un racisme institutionnel de la part des autorités et des institutions helvétiques. « J’ai beau être suisse, j’ai beau avoir la carte d’identité suisse, il a beau être mentionné sur ma carte d’identité origine Lancy… pour ces douaniers, policiers-là, je reste Noir ! »
Plus loin, cette émission a reproduit une expérience réalisée initialement en 1947 aux USA pendant la ségrégation. Cette expérience dite « des poupées » démontre que les stéréotypes négatifs liés à la peau noire sont intégrés très rapidement par les enfants et que même en 2020, dans un contexte suisse, la couleur noire reste dévalorisée aux yeux des enfants noirs avec pour conséquence possible, une mauvaise estime de soi.
Les stéréotypes raciaux, les parents sont de plus en nombreux à les combattre. C’est le cas de l’artiste genevoise Licia Chery : que ce soit au travers de ses chansons ou de son livre « Tichéri a les cheveux crépus », cette jeune maman s’engage pour donner un avenir diversifié à son enfant. Mais elle souligne : « Le plus important c’est de lui apprendre à s’aimer car moi je ne peux pas lui promettre un monde où sa couleur de peau ne sera pas un problème, je ne peux pas lui promettre un monde où il sera traité de manière juste… »
Journaliste : Joëlle Rebetez
Réalisateur : Christian Fargues
Présentation : Luigi Marra