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I live in the Netherlands, where we have some pretty great trains. But there's a country in Europe that does trains better. Much better, in fact.
Switzerland has some of the best trains in the entire world - second, perhaps, only to Japan. What makes these trains so good? And what is it like to actually ride them?
Prostituées nigérianes, l'enfer de la traite sexuelle
Pour 20 francs, 20 francs seulement, elles offrent ‘une prestation sexuelle’ comme on dit dans le milieu. Elles arpentent par tout les temps les trottoirs d’un quartier de Lausanne à disposition des clients qui les embarquent dans leurs voitures.
Peu d’entre nous connaissent la vie de ces femmes prostituées originaires du Nigeria, cet énorme pays d’Afrique de l’Ouest. Peu d’entre nous mesurent l’enfer qu’elles ont traversé pour se retrouver à ‘tapiner’ pour 20 francs la passe sur les trottoirs de Suisse romande. Nous avons voulu remonter la filière jusqu’à ses origines : l’immense ville de Benin City d’où elles sont originaires pour la plupart.
Benin city, haut lieu de la magie noire. Une pratique encore courante en Afrique qui permet aux trafiquants de la chair humaine à la cruelle et puissante mafia nigériane de tenir ces malheureuses par la peur et le chantage.
Des rues de Lausanne aux faubourgs de Benin city en passant par le Sahara, le chaos libyen et les bords de route de l’Italie du sud Pascal Magnin et Maria Pia Mascaro ont passé plusieurs semaines pour retracer minutieusement les étapes de ce terrible voyage. Un voyage jamais terminé. Les destins que les clients de ses filles assouvissant sans scrupules leurs fantasmes, préfèrent ne pas connaitre…
Fidèle à l’adage hâte toi lentement, et sous l’impulsion de la conseillère d’Etat verte, Beatrice Métraux alarmée par la situation à Lausanne, le canton de Vaud a enfin entamé les débats parlementaires sur une nouvelle loi sur la prostitution demandée depuis 2008. Il est probable que désormais pour faire sortir les filles de la clandestinité, elles auront l’obligation de s’annoncer auprès de la police. Cela évidemment ne sera qu’une goute d’eau face à un phénomène qui touche des dizaines de milliers de jeunes filles nigérianes à travers l’Europe.
Un reportage de Pascal Magnin et Maria Pia Mascaro
Images : Walter Hug
Son : Otto Cavadini
Montage : Emmanuelle Eraers
I live in the Netherlands, where we have some pretty great trains. But there's a country in Europe that does trains better. Much better, in fact.
Switzerland has some of the best trains in the entire world - second, perhaps, only to Japan. What makes these trains so good? And what is it like to actually ride them?
"Les prédateurs sexuels chassent en ligne", Temps Présent du 04 novembre 2021, une émission de la @RadioTelevisionSuisse.
L’histoire du reportage que nous vous proposons ce soir est particulière. A son origine, un groupe d’étudiantes en journalisme de l’Université de Neuchâtel a voulu savoir si des jeunes femmes de leur âge avaient vécu de mauvaises expériences, lors de rencontres sur l’application gratuite Tinder. Elles ont cherché des témoignages, participé à des communautés en ligne. Et le résultat de leurs recherches nous a stupéfait, au-delà de ce que nous imaginions.
Harcèlement, abus sexuels, maltraitance, et parfois viols, l’ampleur des incidents graves, à dimension pénale, qui se déroulent via les applications de rencontres amoureuses, va bien au-delà de l’image plutôt rassurante de la statistique des tribunaux ou de la police. Pour rappel, une application de rencontre, c’est la possibilité en deux clicks sur son téléphone portable d’entamer un flirt, à l’issue duquel, et sur la base d’un consentement mutuel, tout est possible y compris la relation sexuelle. Le problème, c’est que dans cet univers opaque, où les identités ne sont pas vérifiées, les prédateurs sexuels rôdent et profitent de la naïveté de leurs victimes pour en abuser.
Cette enquête, signée Micaela Mumenthaler et Xavier Nicol, révèle comment les victimes d’abuseurs sexuels en ligne se sont retrouvées piégées, incapables de réagir, puis de porter plainte. Comment la honte et la culpabilité, les a empêchées de dénoncer. Les propos, vous allez l’entendre sont crûs, à l’image de la brutalité de ces rapports en zone grise. Ces mots forts et douloureux doivent résonner comme une mise en garde.
Un reportage de Micaela Mumenthaler et Xavier Nicol
Image : Walter Hug
Son : Nicolas Ducret
Montage : Corinne Dubuis
Illustration sonore : Stéphane Kirscher
Mixage : Pierre Bader
Switzerland boasts an extraordinary variety of landscapes and habitats, ranging from the Central Plateau to the high peaks of the Alps. Its abundant natural ecosystems like the Alps, wetlands and forests are in close proximity to urban centres and are a particular feature of the Swiss landscape. The country may be small but it is home to no fewer than 12 UNESCO World Heritage Sites.
The Swiss Alps are high, snow-covered mountains most of which are over 13,000 feet (4,000 meters). The most famous peak is the Matterhorn which is 14,692 feet (4,478 meters) tall, but the highest peak is Dufourspitze at 15,203 feet (4,634 meters).
Scientists are concerned that glaciers in the Swiss Alps have lost a lot of ice coverage in the past 40 years. This may be related to global climate change. Rapid melting of the glaciers could cause flooding to the villages below.
Most animals in Switzerland live in the mountains. The ibex, a species of mountain goat, was hunted to near extinction in the early 1800s. The species has since been reintroduced and more than 15,000 ibex now live in the Swiss Alps. Hikers may also encounter chamois, another goatlike animal, and marmots. The forests of Switzerland are also home to deer, rabbits, foxes, badgers, squirrels, and many bird species.
Switzerland has 6% of Europe's freshwater reserves. It is considered the 'water tower of Europe'. These reserves are fed by excess rainwater, spring water and run-off from snow and glacier melt. Groundwater provides 80% of drinking and process water, and 40% of tap water does not require treatment before it reaches consumers. Swiss households consume an average of 162 litres of water per day, per person. The water in most Swiss public fountains is safe to drink. Since the 1980s, total water consumption in Switzerland (including industry, trade and agriculture) has fallen by around 30%, even though the population has grown. Roughly 56% of the electricity generated in Switzerland comes from hydropower. Two thirds are produced in the mountain cantons of Uri, Graubünden, Ticino and Valais.
Le mouvement mondial « Black Lives Matter » ravivé suite à la mort de Georges Floyd en mai dernier à Minneapolis a trouvé un écho très important en Suisse. Être Noir.e dans notre pays, c’est vivre une trajectoire qui n’est sensiblement pas la même que pour une personne blanche. Un constat qui dérange… car il bouscule la croyance que notre société donne les mêmes chances à toutes et tous. La discrimination raciale avec son lot de clichés, de préjugés et de violence ordinaire se glisse dans toutes les sphères de la société. Pour décortiquer le racisme anti-Noir, l’émission mêlent récits, éclairages d’experts ainsi que des expériences.
Dans la tête de part à la rencontre de plusieurs personnes suisses ou naturalisées suisses, noires ou métis qui évoquent un vécu personnel parfois douloureux marqué par la violence de mots entendus au coin de la rue, d’attitudes condescendantes, de discrimination au travail ou d’actes racistes.
Parmi les témoignages figurent celui de Smult Kouamé, un jeune trentenaire qui a vécu, alors qu’il était étudiant à la Haute Ecole de Gestion à Genève, une arrestation musclée, non justifiée, à la douane de Bardonnex (GE). Si cet événement a été particulièrement traumatisant pour lui, il racontera combien il est courant quand on est noir.e de subir un racisme institutionnel de la part des autorités et des institutions helvétiques. « J’ai beau être suisse, j’ai beau avoir la carte d’identité suisse, il a beau être mentionné sur ma carte d’identité origine Lancy… pour ces douaniers, policiers-là, je reste Noir ! »
Plus loin, cette émission a reproduit une expérience réalisée initialement en 1947 aux USA pendant la ségrégation. Cette expérience dite « des poupées » démontre que les stéréotypes négatifs liés à la peau noire sont intégrés très rapidement par les enfants et que même en 2020, dans un contexte suisse, la couleur noire reste dévalorisée aux yeux des enfants noirs avec pour conséquence possible, une mauvaise estime de soi.
Les stéréotypes raciaux, les parents sont de plus en nombreux à les combattre. C’est le cas de l’artiste genevoise Licia Chery : que ce soit au travers de ses chansons ou de son livre « Tichéri a les cheveux crépus », cette jeune maman s’engage pour donner un avenir diversifié à son enfant. Mais elle souligne : « Le plus important c’est de lui apprendre à s’aimer car moi je ne peux pas lui promettre un monde où sa couleur de peau ne sera pas un problème, je ne peux pas lui promettre un monde où il sera traité de manière juste… »
Journaliste : Joëlle Rebetez
Réalisateur : Christian Fargues
Présentation : Luigi Marra
Pluie de Grâce est un documentaire visant à montrer combien notre Créateur est proche et comment il vient nous rencontrer. Pour cela, nous avons sillonné la France, la Suisse, ainsi que Tizi Ouzou en Algérie, afin de filmer l’amour dont le Père poursuit sans relâche ses enfants !
Je vous invite à la découverte de l'histoire de Genève, A toute Berzingue, en 5 minutes chrono !
Abdel En Vrai te parle d’une des plus vieilles démocraties du monde et de son système basé sur la démocratie directe.
Switzerland Tourism's new ambassador Roger Federer features in the organisation's latest film. He's joined by legendary actor and Oscar winner Robert De Niro. In the short film, De Niro turns down an invitation by Federer to be part of a movie about Switzerland. He thinks, the destination is pure, impressive and utterly beautiful - but there is no drama in Switzerland, something De Niro focuses his acting upon. The film can be seen online worldwide.
Être noir.e en Suisse - Dans la tête d'un noir
Le mouvement mondial « Black Lives Matter » ravivé suite à la mort de Georges Floyd en mai dernier à Minneapolis a trouvé un écho très important en Suisse. Être Noir.e dans notre pays, c’est vivre une trajectoire qui n’est sensiblement pas la même que pour une personne blanche. Un constat qui dérange… car il bouscule la croyance que notre société donne les mêmes chances à toutes et tous. La discrimination raciale avec son lot de clichés, de préjugés et de violence ordinaire se glisse dans toutes les sphères de la société. Pour décortiquer le racisme anti-Noir, l’émission mêlent récits, éclairages d’experts ainsi que des expériences.
Dans la tête de part à la rencontre de plusieurs personnes suisses ou naturalisées suisses, noires ou métis qui évoquent un vécu personnel parfois douloureux marqué par la violence de mots entendus au coin de la rue, d’attitudes condescendantes, de discrimination au travail ou d’actes racistes.
Parmi les témoignages figurent celui de Smult Kouamé, un jeune trentenaire qui a vécu, alors qu’il était étudiant à la Haute Ecole de Gestion à Genève, une arrestation musclée, non justifiée, à la douane de Bardonnex (GE). Si cet événement a été particulièrement traumatisant pour lui, il racontera combien il est courant quand on est noir.e de subir un racisme institutionnel de la part des autorités et des institutions helvétiques. « J’ai beau être suisse, j’ai beau avoir la carte d’identité suisse, il a beau être mentionné sur ma carte d’identité origine Lancy… pour ces douaniers, policiers-là, je reste Noir ! »
Plus loin, cette émission a reproduit une expérience réalisée initialement en 1947 aux USA pendant la ségrégation. Cette expérience dite « des poupées » démontre que les stéréotypes négatifs liés à la peau noire sont intégrés très rapidement par les enfants et que même en 2020, dans un contexte suisse, la couleur noire reste dévalorisée aux yeux des enfants noirs avec pour conséquence possible, une mauvaise estime de soi.
Les stéréotypes raciaux, les parents sont de plus en nombreux à les combattre. C’est le cas de l’artiste genevoise Licia Chery : que ce soit au travers de ses chansons ou de son livre « Tichéri a les cheveux crépus », cette jeune maman s’engage pour donner un avenir diversifié à son enfant. Mais elle souligne : « Le plus important c’est de lui apprendre à s’aimer car moi je ne peux pas lui promettre un monde où sa couleur de peau ne sera pas un problème, je ne peux pas lui promettre un monde où il sera traité de manière juste… »
Journaliste : Joëlle Rebetez
Réalisateur : Christian Fargues
Présentation : Luigi Marra
Reportage de France 5 diffusé le 15 avril 2016.
Réalisatrice : Claudine Parrish
De Berne à Corsier-Sur-Vevey, la Suisse n'est pas avare de richesses naturelles ; elle abrite aussi l'accélérateur de particules de Genève et la dernière maison de Charles Chaplin.
Les habitants de la commune française de Vittel sont en colère contre Nestlé. Ils ne pourront bientôt plus consommer leur propre eau car la nappe phréatique s’épuise. La multinationale suisse pourra en revanche poursuivre ses puisements pour ses bouteilles d’eau minérale.
Avec Jacques Baud, ex-membre du renseignement stratégique suisse, il a été partie prenante des négociations après la chute de l’URSS et a suivi de près la révolution de Maïdan en 2014, il est l’auteur de “Poutine, maître du jeu ?” aux éditions Max Milo
Le nouveau documentaire donne la parole à des personnes de deux continents qui ont subi des dommages liés à des multinationales suisses. Dick Marty et d’autres personnalités de Suisse et de l’étranger expliquent pourquoi ils exigent des règles claires pour obliger les multinationales à répondre de leurs manquements.
Le port franc de Genève est un des lieux les mieux protégés d’Europe, un des plus secrets aussi. Cette zone de dizaines de milliers de mètres carrés est constituée de gigantesques entrepôts et abrite des toiles de maître, des pierres précieuses, des grands vins, des antiquités... Le tout d’une valeur de plusieurs milliards d’euros.
Conçu à l’origine pour le stockage de marchandises en attente d'être exportées, le port franc de Genève est devenu un immense coffre-fort où grandes fortunes, spéculateurs et fraudeurs du monde entier viennent déposer leurs biens, loin du regard des douanes et du fisc. Les plus grands marchands d'art ou les héritiers des grands artistes entreposent leurs biens dans cette "zone douanière d’exception" qui n’est pas soumise aux mêmes obligations que les établissements financiers.
Recel d'œuvres spoliées, trafic de diamants ou d'antiquités
Yves Bouvier, le "roi" du port franc de Genève, ouvre ses portes
France 3, France Télévisions
CAT&Cie Productions
Ce documentaire fait partie des instruments éducatifs destinés à informer les populations africaines sur les réalités de leur quotidien. Les gens pensent par erreur qu'il suffit de se lever et d'aller créer une usine en Afrique et que les autres vont les accueillir les bras ouverts. Ce qui manque ne sont pas les idées d'affaires, mais les bonnes stratégies pour les mettre en application sans se faire écraser par ces mastodontes.