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FRONTLINE and The New York Times examine how the credit card industry became pervasive, lucrative, and politically powerful. (Aired 2004)
Millions of American families use their personal, general-purpose credit cards to make ends meet. With no federal laws on the amount of interest or fees that can be charged, credit cards have become the most profitable sector of the American banking industry.”] In “Secret History of the Credit Card,” correspondent Lowell Bergman uncovers the techniques used by the industry to earn record profits and get consumers to take on more debt. Some experts argue the profitability of credit cards began when the banking industry successfully eliminated a critical restriction: the limit on the interest rate a lender can charge a borrower. Deregulation, coupled with a revolution in technology enabled the almost real-time tracking of personal financial information and the emergence of nationwide banking, facilitated the widening availability of credit cards across the economic spectrum. But for some, the cost of credit is often far greater than it appears.
Ce n’est pas une défaillance de votre écran, n’essayez donc pas de régler l’image.
Nous contrôlons tout à présent.
Nous contrôlons l’investissement horizontal, et vertical.
Nous pouvons vous noyer sous un millier de supports d’investissements, ou dilater le moindre dollar jusqu’à multiplier sa valeur par 1.000, et même au-delà.
Nous pouvons modeler les marchés, et fournir tous les produits dérivés que l’imagination humaine peut concevoir.
Nous sommes Black Rock.
Notre mission : créer un monde financier meilleur pour nos clients.
Nous sommes plus puissants que la plus puissante des banques, et même, que de nombreux Etats.
Aujourd’hui, nous allons vous raconter comment nous sommes parvenus à devenir le plus gros investisseur que la Terre ait jamais connu.
Nous allons vous expliquer comment nous agissons (toujours dans l’intérêt de nos clients) et comment après avoir conquis l’Amérique, nous étendons petit à petit notre influence partout sur la planète.
N’ayez pas peur de pousser nos portes, venez voir par vous-même
Pour cette 300ème émission de "Politique & Eco", Olivier Pichon et Pierre Bergerault reçoivent Jean-Pierre Chevallier, analyste financier indépendant.
Depuis une dizaine d’années, les banksters jonglent pour éviter le pire par tous les moyens, et pour l’instant, ils ont réussi à survivre tant bien que mal. Mais, selon Jean-Pierre Chevallier, le jour fatal arrivera car les banques sont en grande difficulté, voire au bord de la faillite comme la Deutsche Bank ou la Société Générale, alors même qu'elles bénéficient de la manne de la BCE.
Tout cela parce que depuis le début du XXIème siècle elles ont abandonné les règles prudentielles, à savoir que leurs engagements sur fonds propres ne devraient pas dépasser un ratio de 1/10 alors qu’elles sont à 1/30, 1/40 et plus. Il est clair que l'excès de liquidité sur les marchés et cette période délirante de taux nuls ou négatifs alimentent les spéculations les plus folles et stimulent l’appât du gain.
Pragmatique, Jean-Pierre Chevallier part des bilans bancaires. Pour prendre le cas de la Société Générale, les pertes potentielles (non provisionnées) de 53 milliards d’euros sur les prêts irrecouvrables qu’elle a octroyés à ses clients sont supérieurs au montant de ses capitaux propres tangibles (réels) de… 47,6 milliards (documents publiés par la banque dans ses résultats financiers au 1er trimestre 2021).
En appliquant les règles comptables en vigueur (IFRS 9), la Société Générale a donc des capitaux propres… négatifs ce qui aurait dû conduire ses dirigeants à déclarer la banque en faillite. Enfin, la Société Générale oublie de compter les pertes potentielles hors bilan qui représentent un total de 74,002 milliards.
Donc en cas de faillite d’une ou plusieurs banques, que se passerait-il ? La référence en la matière est ce qui s’est passé en Grèce (2008) et à Chypre (2012) et aussi et surtout en Allemagne après la Première guerre mondiale. D’abord, le système bancaire français sera entièrement bloqué pendant quelques jours : aucun distributeur automatique de billets ne fonctionnera, les agences bancaires seront fermées, personne ne répondra au téléphone, ni aux emails, les comptes gérés par internet seront inaccessibles ou figés.
Il n’existe aucune garantie des dépôts bancaires en France dans la mesure où le Fonds de garantie des dépôts et de résolution ne dispose que de 4,7 milliards d’euros, soit moins de 100 euros pour chacun des 50 millions de clients ! Toutes ces analyses confirment l’aggravation de la crise qui couve toujours dans la zone euro...
How to pay off a 30 year home mortgage in 5 to 7 years. This is the most up to date version of our explanation on how you can pay off a 30-year mortgage in just 5 to 7 years on average.
In the video, I will demonstrate how a banking strategy can be used to pay off a 30 year home mortgage in just 5-7 years without sending double payments, changing your current level of income, without refinancing, without loan modification, and without hurting your credit.
Dans l’immobilier, les taux d’emprunt n’ont jamais été aussi bas ! Environ 1,25 % sur 25 ans par exemple contre 3,70 % environ pour une même durée il y a sept ans ! Et l’année dernière, les banques ont en moyenne baissé leurs taux de 0,15 %. Conséquence : les opportunités de renégociations de prêts auprès des banques se multiplient.