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Souvenez-vous, il y a un peu plus d’un an, en mai 2021, on se posait déjà la question de savoir ce qui pourrait bien rafraîchir l’immobilier français, alors en surchauffe.
A l’époque, boosté par la crise sanitaire, le moindre mètre carré échangé à Paris ou dans les grandes villes de province atteignait des niveaux jamais égalés, près de 15.000 euros pour la capitale, par exemple.
Une offre plus rare face à une demande dynamique, il n’en fallait pas plus pour encourager la hausse des prix et rien n’a pu calmer l’appétit dévorant des français pour la pierre, à tel point que la situation devenait problématique.
Les professionnels de l’immobilier qui espéraient une correction rapide regardaient une grande partie des candidats à l’accession, les petits profils essentiellement, abandonner leurs projets faute de revenus suffisants.
Chacun attendait que la courbe des prix de l’immobilier revienne se lier à la courbe de l’évolution du revenu disponible des ménages, dont elle s’écarte depuis l’explosion de la bulle Internet en 2000.
Après cette première crise majeure du nouveau siècle, l’immobilier est redevenu une valeur refuge par excellence, rentable et solide, résultat, les prix se sont envolés, multipliés par 1.7 en 20 ans, et pour Paris, c’est fois 2, en 10 ans.
Rien ne semblait pouvoir faire exploser cette gigantesque bulle, alimentée aussi par les capitaux du quoi qu’il en coûte pendant la pandémie, et stimulée par des crédits pas chers.
Et puis il y a eu l’inflation, qu’on disait transitoire, et qui s’est installée.
En Europe, c’est +10.7 % en moyenne en octobre dernier, et en France, on fait partie des bons élèves, avec une inflation maintenue, pour le moment artificiellement, à 6.2 %.
Le pouvoir d’achat régresse pendant que l’Europe se dirige vers la récession, alors les taux grimpent et les prêts immobiliers se font plus rares et plus chers.
Cette fois, tous les paramètres semblent ajustés pour mettre fin à la fièvre immobilière qui agite notre pays.
Aujourd’hui sur Money Radar, on reparle d’immobilier, et d’immobilier français, avec le sujet qui agite le plus les professionnels du secteur cet automne, et si vous aviez projeté de vous offrir votre prochaine résidence, vous êtes au bon endroit.
Les prix baissent, oui, mais combien de temps ça va durer, et quelle sera l’ampleur de cette baisse ?
Aujourd’hui nous allons vous parler d’un pays atypique, que certains appellent traditionnellement Terre Sainte, ou Terre Promise, tandis que d’autres la nomment plus prosaïquement : startup nation.
En 15 ans, le petit Etat d’Israël, à peine aussi grand que la Bretagne, est passé du statut de pays en voie de développement à celui d’économie développée, et il ne cesse de grappiller des places au classement des plus grosses puissances mondiales.
Cette année, il y occupe la 30ème position.
La résistance dont il a fait preuve face à la crise sanitaire aurait dû elle aussi, être remarquée, et pourtant, le fait est resté discret.
L’année dernière, le PIB d’Israël n’a reculé que de 2.6 %, et cette année, on s’attend à ce qu’il rebondisse de 5 à 6 %.
Il est vrai qu’Israël fait surtout parler de lui à l’occasion des fréquents conflits qui l’opposent à ses voisins, ou entre les divers courants religieux qui se partagent ses terres.
Pourtant, son incroyable ascension économique commence à attirer l’attention du reste monde, et plus particulièrement celle des investisseurs.
Aujourd’hui nous allons vous présenter un pays atypique, une jeune nation, qui se cherche encore dans de nombreux domaines, et qui avec tous les moyens dont elle dispose, devrait pouvoir occuper une autre place sur l’échiquier économique mondial, mais à la condition qu’elle sache relever les nombreux défis sociaux et politiques auxquels elle doit faire face.
Alors, à quoi ressemble Israël en 2021 et quelles sont ses perspectives ?
Sur quelles ressources s’appuie le pays pour alimenter sa croissance exceptionnelle, et quelles sont les problématiques auxquelles il doit faire face ?
Voilà 4 excellentes questions qui vont nous conduire depuis les rues animées de Jaffa à Jérusalem, jusqu’au port d’Eilat sur la Mer rouge, à l’extrême sud du pays.
« Vendre la vie éternelle est un business imbattable, aucun client ne demandera jamais à être remboursé après que la marchandise n'a pas été livrée."
La vie éternelle
Un concept qui anime l’homme depuis qu’il a pris conscience de sa fragilité et du caractère temporaire de son passage sur Terre.
De nombreux savants, philosophes et théologiens tentent de repousser les limites de la mort depuis l’Antiquité.
Que de légendes ces aventuriers en quête de la fontaine de Jouvence n’ont-ils inspiré au cours de l’histoire de l’humanité, une humanité prisonnière de sa condition de mortel, et qui rêve de parvenir un jour à trouver un moyen de s’en échapper.
Certains pour cela se tournent vers les dogmes religieux, qui promettent la vie éternelle pour celui qui a la foi, mais cette vie éternelle ne concerne que l’âme, et non le corps.
D’autres en revanche, bien ancrés dans le monde matériel, préfèrent faire ce que nous avons pris l’habitude de faire depuis la révolution Copernicienne au 18ème siècle : se tourner vers la science pour obtenir cette fois, l’immortalité biologique, la vraie !
Aujourd’hui nous allons nous pencher sur cette nouvelle génération d’alchimistes, qui mélangent technologie, biologie, robotique, génétique, biochimie et intelligence artificielle pour repousser les limites de la mort et améliorer notre confort de vie.
Ces nouveaux pourvoyeurs d’éternité ont le même objectif : vous faire vivre demain jusqu’à 110, 130 ou 150 ans voire plus grâce aux progrès fulgurants réalisés par la science.
Leur champ d’étude attire particulièrement l’attention et nombreux sont ceux qui sont prêts à y investir des fortunes dans l’espoir de faire partie des premiers bénéficiaires des découvertes.
La taille potentielle du marché créé par cette nouvelle quête scientifique est titanesque, et de nombreux capitaines d’industrie se sont évidemment lancés dans l’aventure, à ceci près que cette fois, la démarche n’est pas seulement motivée par le profit.
Alors ? Sera-t-il vraiment possible demain de perdre 20 ans comme on pourrait perdre 20 kilos, grâce à une pilule anti-vieillissement active jusque dans nos artères ?
De transférer le contenu de notre cerveau sur un disque dur, ou de traiter un cancer aussi simplement que l’on traite une angine ?
Faut-il investir dans toutes ces nouvelles spécialités prometteuses et comment s’y prendre pour éviter d’y laisser des plumes, en attendant que la science découvre comment nous faire pousser des ailes ?
Nestlé.
Ce nom nous le connaissons tous et il a un grand pouvoir.
Celui d’éveiller nos papilles et nos envies de sucre.
Pour beaucoup d’entre nous, il évoque l’image d’un chocolat fondant qui coule lentement sur les courbes d’une poire, de petits déjeuners en famille au lever du soleil autour d’un pot de chicorée soluble, ou d’une mousse fumante qui s’étale à la surface d’un café de grandes origines.
Pour les consommateurs, Nestlé c’est surtout le chocolat, les céréales, le café et l’eau minérale.
Des produits devenus historiques, dont les noms hantent les esprits des gourmands : Kit-Kat, Chocapic, Lion, Smarties, ou Nescafé.
Pourtant Nestlé n’est pas fort qu’en chocolat.
A la tête de près de 2.000 marques, aussi célèbres les unes que les autres, le géant suisse est devenu en 150 ans le maître absolu de l’agroalimentaire mondial.
Pionnier de la recherche dans le domaine de l’alimentation industrielle, c’est aujourd’hui lui qui crée les tendances et développe les nouveautés alimentaires que nous retrouvons dans nos rayons.
Il fait partie des 10 multinationales qui se partagent 90 % de la consommation mondiale de produits alimentaires, produits de santé et de bien-être.
Un géant au féroce appétit, qui se sert là où se trouvent les ressources et qui est peu regardant sur les méthodes de travail employées dans ses plantations situées à l’autre bout du monde.
Mais c’est sans compter sur le bataillon d’ONG et de médias un peu trop critiques qui gardent Nestlé sous haute surveillance, ainsi peut-on voir son nom cité régulièrement dans diverses affaires et controverses.
Dans cette vidéo, nous allons vous montrer ce qu’il se passe dans les coulisses de ce que l’on imagine souvent comme la plus grande chocolaterie du monde.
Certes, elle l’est, mais c’est assez réducteur, tout comme c’est réducteur de s’imaginer que la puissance du géant suisse ne limite qu’à la sphère des produits de consommation.
En réalité, Nestlé est partout, il régente tout et il est là pour longtemps.
Ce n’est pas une défaillance de votre écran, n’essayez donc pas de régler l’image.
Nous contrôlons tout à présent.
Nous contrôlons l’investissement horizontal, et vertical.
Nous pouvons vous noyer sous un millier de supports d’investissements, ou dilater le moindre dollar jusqu’à multiplier sa valeur par 1.000, et même au-delà.
Nous pouvons modeler les marchés, et fournir tous les produits dérivés que l’imagination humaine peut concevoir.
Nous sommes Black Rock.
Notre mission : créer un monde financier meilleur pour nos clients.
Nous sommes plus puissants que la plus puissante des banques, et même, que de nombreux Etats.
Aujourd’hui, nous allons vous raconter comment nous sommes parvenus à devenir le plus gros investisseur que la Terre ait jamais connu.
Nous allons vous expliquer comment nous agissons (toujours dans l’intérêt de nos clients) et comment après avoir conquis l’Amérique, nous étendons petit à petit notre influence partout sur la planète.
N’ayez pas peur de pousser nos portes, venez voir par vous-même
Quel est le point commun entre Georges Soros, Warren Buffet, John Bogle, Elon Musk ou Jack Ma ?
Ils sont milliardaires, certes, mais ils y sont partis de rien.
Et ils y ont créé leurs fortunes en se constituant au fil du temps de nombreuses sources de revenus qui ne leur demandent aujourd’hui qu’un minimum de travail.
S’ils le voulaient, tous, sans exception, pourraient décider de cesser toute activité, sans que cela ne change quoi que ce soit à leur situation financière, très confortable.
Ils continueraient à percevoir chaque mois des sommes largement suffisantes pour couvrir tous leurs besoins.
Bref, ils ne travaillent plus pour gagner de l’argent, leur argent travaille pour eux.
Cette indépendance financière a été acquise grâce à la création de revenus passifs qui cumulés année après année leur ont permis d’amasser leurs immenses fortunes.
Mais ce à quoi on ne pense pas forcément en écoutant leurs histoires, c’est que cette stratégie payante est en réalité à la portée de tout le monde.
Nous allons maintenant vous expliquer pourquoi et comment il faut les imiter, et vous donner quelques pistes sérieuses pour vous créer vous aussi, des revenus passifs, même sans disposer d’un capital de départ.