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L’incroyable saga d’une dynastie familiale qui pour la première fois ouvre les portes de son empire. De la City de Londres aux vignes du Médoc, nous sommes allé à la rencontre des Rothschild dont le nom a traversé les siècles et n’est jamais loin du pouvoir.
Réalisateur : Amandine Chambelland
Ils s’appellent Ibrahima, Coumba, Bakary. Ils sont nés en France de parents sénégalais et ont choisi d’effectuer en sens inverse le voyage qu’avaient fait leurs parents. Adieu Nanterre, Trappes ou les Mureaux et bonjour Dakar.
Ibrahima Sylla, ancien chauffeur de taxi parisien a créé « Salam Transport », une entreprise de bus privée reliant Dakar aux différentes villes du Sénégal : elle est devenue en six ans la compagnie numéro 1 de bus privés au Sénégal.
Coumba Sow avait un poste confortable de manager dans une grande banque française. Mais la jeune femme, qui a grandi dans un HLM à Asnières avec 5 frères et sœurs a ressenti l’appel de l’Afrique. Alors elle a pris un an de congé sabbatique pour s’installer à Dakar et a monté sa petite entreprise, Pari Sénégal, où elle accompagne des franco-sénégalais dans leurs projets de retour au pays
Bakary Coly, lui, a travaillé 15 ans à la Caisse des Dépôts en France. Son idée au Sénégal : monter une start-up de livraison avec des motos électriques.
Depuis quelques années, de plus en plus de Français d’origine sénégalaise partent tenter leur chance pour créer leur entreprise dans un Sénégal en plein boom économique, un pays qu’ils ont seulement connu pendant leurs vacances d'enfants.
Entre 2014 et 2019, le Sénégal a enregistré un taux de croissance de 6%, ce qui a accéléré ce chassé-croisé des générations entre la France et le Sénégal. Il est difficile à traduire précisément en chiffres, mais c'est une vraie tendance qu’on observe depuis plusieurs années et qui s’est accélérée depuis le Covid. Sans dissiper un triste paradoxe : si la jeunesse franco-sénégalaise ne voit plus la France ou l’Europe comme un Eldorado, les jeunes Sénégalais font encore souvent tout pour y émigrer, parfois au risque de leur vie.
Reportage (France, 2022)
disponible jusqu'au 31/10/2025
The UK's recent disastrous "mini" Budget can trace its origins back to Britain's decision to leave the European Union. The economic costs of Brexit were masked by the Covid-19 pandemic and the crisis in Ukraine. But six years after the UK voted to leave, the effect has become clear. In this film, senior FT writers and British businesspeople examine how Brexit hit the UK economy, the political conspiracy of silence, and why there has not yet been a convincing case for a 'Brexit dividend'.
Produced, directed and edited by Daniel Garrahan
Cashless payments are on the rise. They are fast, easy and convenient. Worldwide, cashless transactions have become the norm.
But Germany’s central bank and government are still clinging on to cash. Can they stop the move towards a cashless society? Our documentary shows who is behind the worldwide anti-cash lobby. Banks want to get rid of coins and bills for cost reasons, and politicians think less cash will cut the rug out from under criminals and terrorists. Central bankers want to abolish cash because it would make it easier for them to enforce negative interest rates. And digital payment companies like Paypal or Visa simply want to profit from money transactions and collect as much financial data about consumers as they can. Their aim is to gain complete control over our buying behavior. For example, the "Better than Cash Alliance" in New York is supported by financial corporations such as Visa or Mastercard. They say the more people that are integrated into the international financial system, the more growth and jobs it will promote. But as our financial behavior becomes more and more transparent, states are also using payment data to find out more about us. The ordinary citizen’s view of cash as a store of value, independent of third party interests, is being increasingly ignored. But for them, cash is and will remain a symbol of freedom.
Souvenez-vous, il y a un peu plus d’un an, en mai 2021, on se posait déjà la question de savoir ce qui pourrait bien rafraîchir l’immobilier français, alors en surchauffe.
A l’époque, boosté par la crise sanitaire, le moindre mètre carré échangé à Paris ou dans les grandes villes de province atteignait des niveaux jamais égalés, près de 15.000 euros pour la capitale, par exemple.
Une offre plus rare face à une demande dynamique, il n’en fallait pas plus pour encourager la hausse des prix et rien n’a pu calmer l’appétit dévorant des français pour la pierre, à tel point que la situation devenait problématique.
Les professionnels de l’immobilier qui espéraient une correction rapide regardaient une grande partie des candidats à l’accession, les petits profils essentiellement, abandonner leurs projets faute de revenus suffisants.
Chacun attendait que la courbe des prix de l’immobilier revienne se lier à la courbe de l’évolution du revenu disponible des ménages, dont elle s’écarte depuis l’explosion de la bulle Internet en 2000.
Après cette première crise majeure du nouveau siècle, l’immobilier est redevenu une valeur refuge par excellence, rentable et solide, résultat, les prix se sont envolés, multipliés par 1.7 en 20 ans, et pour Paris, c’est fois 2, en 10 ans.
Rien ne semblait pouvoir faire exploser cette gigantesque bulle, alimentée aussi par les capitaux du quoi qu’il en coûte pendant la pandémie, et stimulée par des crédits pas chers.
Et puis il y a eu l’inflation, qu’on disait transitoire, et qui s’est installée.
En Europe, c’est +10.7 % en moyenne en octobre dernier, et en France, on fait partie des bons élèves, avec une inflation maintenue, pour le moment artificiellement, à 6.2 %.
Le pouvoir d’achat régresse pendant que l’Europe se dirige vers la récession, alors les taux grimpent et les prêts immobiliers se font plus rares et plus chers.
Cette fois, tous les paramètres semblent ajustés pour mettre fin à la fièvre immobilière qui agite notre pays.
Aujourd’hui sur Money Radar, on reparle d’immobilier, et d’immobilier français, avec le sujet qui agite le plus les professionnels du secteur cet automne, et si vous aviez projeté de vous offrir votre prochaine résidence, vous êtes au bon endroit.
Les prix baissent, oui, mais combien de temps ça va durer, et quelle sera l’ampleur de cette baisse ?
L'eau en bouteille, un énorme marché longtemps dominé par des multinationales. Mais leur suprématie a été remise en cause par Cristaline, l'eau la moins chère du marché. Révélations sur le prix et la qualité de vos eaux en bouteille.
Global trade is a hot topic of the G7 summit in Canada. Is free trade truly free - and fair? What roles do US President Trump, economic powerhouse China, and the EU play in global trade?
When it comes to global trade, it would seem that trickery, threats and deception are the order of the day - yet all this takes place largely beyond the reach of the public eye. Donald Trump has made "America First” his agenda and rallying cry. Along with aiming sharp criticism at global export champion Germany, Trump has also introduced punitive tariffs and warned of further measures. Will this fresh wave of protectionism lead to economic isolationism and threaten global free trade? And what about those for whom free trade’s promise of prosperity increasingly rings hollow? Around the world, many people have come to regard themselves as the losers of globalization. If the true winners of free trade and globalization are not ordinary citizens, has the time come to revise the liberal orthodoxy of free trade? This documentary visits Germany, Switzerland, the United States and Cameroon to explore these issues by way of some everyday examples, including the trade in onions, floor tiles, and bicycles.
Comment mon auto a échappé à la casse
Près de 700 000 visiteurs étaient attendus au salon de l’automobile de Genève qui fermait ses portes le dimanche 18 mars 2018. Ce salon se déroulait en plein paradoxe. Les constructeurs ont annoncé des ventes records en 20217 mais la mort annoncée du diesel à fait peser de lourdes incertitudes sur le marché. Et pendant ce temps, pendant que les amateurs aises de belle limousines venaient faire leur shopping que les 900 nouveaux modelés présentés annonçaient des carnets de commandes qui allaient faire tourner les usines à plein régime et bien pendant ce temps à l’autre bout de la chaine des centaines de milliers de vieilles voitures usagées, des carcasses parfois, disparaissent de la circulation officiellement une partie de ces épaves souvent en parfait état de marche d’ailleurs (tant la Suisse est tatillonne) finit a la acasse ou au recyclage. Une autre partie de ces voitures considérées comme inaptes au service part en Afrique ou dans les pays de l’Est pour une autre vie.
Circulez donc quand une voiture est bonne pour la casse il n’y a plus rien à voir. Pas tout à fait pourtant comme l’ont découvert Jean-Daniel Bohnenblust et Jacqueline Dubuis. D’abord près de 40 000 véhicules disparaissent mystérieusement hors de Suisse après leur retrait de la circulation. Ensuite nos vieilles bagnoles recyclées en Afrique font exploser les accidents de la route et la pollution. Ce trafic lucratif qui arrange bien tout le monde et déculpabilise l’acheteur de nouveaux véhicules a aussi une face sombre : la voici.
Lors d’un précédent reportage Temps Présent vous racontait les ravages des diesels de mauvaise qualité en Afrique à cause de la pollution atmosphérique : https://bit.ly/39wSDd6
Alors les nouvelles de la baisse des ventes en Europe des véhicules au diesel ne sont pas bonnes pour le continent africain comme le suggère le ministre togolais des transports dans ce reportage, il y a fort a parier que le parc de diesel usagé soit petit à petit liquidé chez nous et qu’il se retrouve dans les capitales africaines déjà englouties sous les particules fines polluantes.
Un reportage de Jean-Daniel Bohnenblust et Jacqueline Dubuis
Image : Walter Hug
Son : Emilie Spierer
Montage : Ana Acosta
L'émission Réussite (Canal Plus Afrique) s'intéresse au cas d'Eden Tree, une entreprise qui s'est imposée comme l’un des principaux fournisseurs de fruits et légumes frais au Ghana.
Pour attirer les startups, la Côte d'Ivoire mise sur une zone franche : Le Parc Technologique Mahatma Gandhi (VITIB). Elle propose un incubateur et des services pour les entreprises de haute technologie qui s'y installent. La promesse : pas d'impôt, pas de TVA, ni frais de douane. Découvrez la Silicon Valley ivoirienne.